L'édition électronique native de la Glossa media de Gilbert de Poitiers sur le corpus paulinien

page créée par  Martin Morard le 20.6.2022, mise à jour le 16.7.2023 (version 4

Boulougne-sur-Mer, BM, ms. 24 : Glossa media in Paul. (Eph.)  (12e 3/4)

=> vers l’édition

RATIO EDITIONIS

On trouvera ici quelques remarques justificatives en introduction à l’édition électronique de la Glossa media.

 

La Glossa media est, comme son nom l’indique, un des chaînons manquants indispensables à la compréhension des relations philogiques entre deux autres piliers majeurs de la formation du clergé grégorien et de la culture religieuse fondamentales des siècles suivants : la Glossa parva dans sa version laonnoise, souche germinale de la glose sur les Psaumes et les épîtres de Paul, et leur déploiement faîtier dans la Glossa magna de Pierre Lombard.

Le commentaire de Gilbert de la Porrée sur les épîtres pauliniennes était demeuré inédit jusqu’à ce que Karlfried Froehlich (Princeton Theological Seminary) en entreprenne la transcription intégrale à partir du manuscrit 58 de la bibliothèque conventuelle de Zwettl en Autriche, copié par un copiste bourguignon travaillant pour le scriptorium de Zwettl.[1] Je le remercie d’avoir bien voulu nous autoriser publier son édition sur le site Sacra Pagina pour faciliter les comparaisons textuelles entre les différentes versions des Glose de la Bible.

Un recensement complet des manuscrits, régulièrement enrichi et mis à jour, est disponible dans la base GLOSSEM (corpus : « glossa media » = > sélectionner tout). Des renseignements codicologiques complémentaires sont accessibles en cliquant sur le lien associé à la cote des manuscrits (données externes au site) ou sur la note associée à la cote.

Cette transcription a fait l’objet d’une publication libre de droits en format pdf (https://www.corpuschristianorum.org/cccm), accompagnée d’une introduction substantielle : « Gilbert of Poitiers: Commentary on the Pauline Epistles Transcription of MS Zwettl 58. Introduction », p. i-xiii[2] :

La transcription intégrale du commentaire de Gilbert de Poitiers procure un texte de base solide à l’édition critique à venir. Sa publication et sa généreuse mise à disposition doivent être signalés comme un événement majeur de l’histoire de l’exégèse médiévale des cent dernières années.

Le choix du manuscrit de Zwettl ppourra être discuté. Il ne repose pas sur une évaluation critique préalable de l’ensemble de la tradition ; il n’a pas la prétention de s’impose comme une référence philologique. Copié après la condamnation et la rétractation de Gilbert de la Porrée (1148) ; il ne révèle qu’un moment de la tradition du texte, transcrit avec scrupule,  dont K. Froehlich reconnaît lui-même les limites. Les collations effectuées avec d’autres manuscrits révèlent même de nombreux écarts et parfois des contresens par rapport à la tradition majoritaire de la Glossa media[3]. Il sera du devoir des éditeurs de les signaler. C’est la raison de la version annotée que nous inaugurant grâce au système d’édition numérique dynamique mis en place sur le site Sacra Pagina.

 

Rien ne saurait être préféré par l’historien à la production de données établies de manière critique et à leur analyse méthodique. Le but d’une édition critique est de mettre le texte à la portée des lecteurs de notre temps, en s’appuyant sur les artifices techniques de notre temps, en rendant compte des différences entre les témoins, en prenant aussi la responsabilité de faire le départ entre le signifiant et l’insignifiant, l’essentiel et l’accessoire, maniant d’une main le scrupule qui oblige (et entrave aussi) et l’expérience qui libère. Dans cette perspective, le respect strict de la disposition du manuscrit de base, de ses graphies et particularités d’exemplaire ne s’imposait plus. Cependant, nous n’avons rien voulu perdre des détails minutieusement relevés dans l’établissement du texte de base.

Nous suivons librement en cela les principes de l’école française de philologie historique, représentée par la tradition de l’Ecole nationale des chartes, ainsi que ceux reçus de nos maîtres de la Commission léonine des éditeurs de saint Thomas d’Aquin[4].

 Les principes éditoriaux adoptés pour l’édition électronique de la Glose ordinaire, s’appliquent à toutes les éditions du site. Aussi, dans la perspective d’une édition critique, nous avons mis la transcription du ms. Zw58 aux normes des éditions publiées sur Sacra Pagina en vue d’améliorer l’ergonomie de la lecture, de permettre le référencement scientifiques des textes et leur exploitation électronique. Cette évolution nous obligeait à prendre plusieurs libertés par rapport à la transcription originale et aux options éditoriales dont Karlfried Froehlich rend compte dans son introduction. Elles concernent les domaines suivants :      
1° la mise en évidence du texte biblique

2° l’identification des sources ;           
3° l’habillage du texte ;           
4° le renforcement et l’élargissement de l’assise critique du texte de Zw58 par la collation de nouveaux témoins.

 

1.       Le texte biblique

-          L’édition d’un commentaire ne peut se passer d’une attention particulière au texte commenté. Dans les livres glosés en particulier, il convient de distinguer l’édition du texte commenté qui est un objectif à part, de l’édition des éléments du texte commenté intégrés

dans le commentaire proprement dit. Eux-seuls sont susceptible d’alimenter la reconstitution philologique du texte biblique commenté par l’auteur.

-          Les trois quart des témoins de la Glossa media (58/78)  adoptent une mise en page glosée. Le texte intégral des épîtres pauliniennes qui y figure relève de l’histoire de la Vulgate latine au 12e siècle. Il devra faire l’objet d’une étude philologique propre. Seuls les lemmes commentés cités au fil du commentaire appartiennent au commentaire original et peuvent permettre de reconstituer le texte biblique utilisé par Gilbert de Poitiers. Sans prétendre anticiper les résultats d’une future édition critique, on constate, à partir du manuscrit de Zwettl, que Gilbert s’appuye sur un texte biblique du corpus paulinien plus proche du texte critique de la Vulgate hiéronymienne que le texte parisien et ses versions tardives qui s’imposeront aux siècles suivants.

-          La numérotation moderne usuelle des chapitres et de versets de la Vulgate (editio minor) forme la clé primaire qui structure tous les textes publiés sur le site. Elle permet l’affichage synoptique du texte de la Biblia communis (Vulgagte du Moyen Âge tardif) qui est associé à tous les commentaires bibliques publiés sur le site. Elle s’impose donc comme une condition sine qua non. Les particularités dont témoignent les manuscrits à leur sujet sont signalées dans les apparats et introductions. Le fait que les manuscrits et les usages médiévaux aient été différents ne le rend que plus nécessaire pour l’historien moderne.

-          La mise en évidence des lemmes bibliques commentés qu’avait omise la transcription initiale est la condition sine qua non de la compréhension du commentaire porrétain. Ce travail encore inachevé est absolument indispensable à la compréhension de la méthode du commentaire biblique médiéval. Nous ne faisons par là que reproduire les soulignements observés par la quasi totalité des copistes médiévaux. Bien évidemment, il n’y a pas lieu de rendre compte des oublis ou erreurs des copistes en la matière. Nous avons donc mis en petites capitales, conformément à l’usage moderne, les mots repris littéralement du Texte biblique commenté ou supposés l’être. Les « aliae litterae » signalées par le commentateur ont reçu le même traitement puisqu’elles ont aussi le statut de texte commenté.

-          K. Froehlich a relevé 27 numéros de chapitres bibliques que le copiste du ms. Zw58 a noté dans les marges du commentaire de Gilbert de Poitiers. Je les ai rejetés en note sous le forme
[•N•] Hic incipit capitulum N marg. Zw58.        
A une ou deux exceptions près, ces numéros ne sont qu’une signalétique approximative qui anticipe ou suit de quelques lignes le début effectif des chapitres[5].

-          Conformément à la charte éditoriale de Sacra Pagina, les leçons du lemme intégral des manucrits glosés seront signalées dans l’apparat de l’édition de la Biblia communis. Les leçons variantes des lemmes cités par Gilbert de Poitiers sont également signalées dans l’apparat du commentaire.

2.      L’identification des sources :

-          mise en évidence des reprises littérales de la Glose ordinaire :  selon la méthode appliquée pour l’édition critique des sources de la Catena aurea, dans le texte même de l’édition de la Glossa media et de la Glossa magna, nous mettons en évidence en gras les termes repris à la lettre de la Glossa parva. Toutefois comme aucune de ces trois gloses ne peut être éditée critiquement sans référence aux deux autres – en ce qui concerne les sources tout au moins – on aura conscience que ce travail n’est pour l’instant que provisoire. Lorsque des correspondances ont été ponctuellement notées il nous a semblé utile d’en conserver la trace. Il sera prudent de considérer que cet élément de l’habillage du texte édité est semper reformandus ;

-          mise entre guillemets des citations bibliques illustratives ;

-          identification des références bibliques ;

-          identification des sources patristiques.

3.      l’habillage du texte

L’habillage général relève de la responsabilité de chaque éditeur et des objectifs de chaque projet éditorial. Sont concernés en particulier:

-          les titres qui structurent l’édition électronique sont des titres uniformes ajoutés par l’éditeur. Pour des raisons techniques il n’a pas été possible de recourir, au niveau des titres,  à la signalétique classique par chevrons (< >) ni d’introduire des notes dans les titres. Des notes d’apparats y surseoient.

-          la division du texte en sentences ou unités de sens ;

-          la latinisation et la transformation en notes d’apparat critique des particularités d’exemplaires jusqu’ici insérées directement dans le texte de la transcription ;

-          la restitut et au référencement ion de la distinction des v et des u, des c et des t que la transcription du texte de base avait cru utile de conserver (astucia, efficatiet, senciet, etc.). Seuls sont signalés les cas où la graphie médiévale implique une possible équivocité.

-          l’uniformisation muette des graphies (dans certains cas seulement, les graphies de Zw58 sont signalées en apparat ; graphies corrigées, v. g. : conexio, sydus, paradysus, cottidianus, charisma etc. ). Nous avons longuement rendu compte de cette normalisation des graphies dans la ratio editionis générale.

-          la ponctuation et l’ajout de majuscules aux noms de lieux et de personnes ;

-          l’encodage spécifique des lemmes attributifs ou références nominales aux sources patristiques citées ;

-          la suppressions des pieds-de mouche ou marques de paragraphes non signifiantes: cette signalétique est très instable dans la tradition manuscrite ; sa signification et son statut diffère d’un manuscrit à l’autre ; son relevé systématique ne semble pas s’imposer à l’échelle d’une édition critique. 

-          l’abandon de la référence à la pagination de la transcription en format pdf ; j’ai conservé pour l’instant les références à la foliotation du manuscrit de base, même s’il est exclu de reporter dans l’éditions les changements de feuillets de tous les manuscrits collationnés. Les hyperliens intégrés dans le sigle des manuscrits au niveau des notes de déclaration de témoins en tiennent lieu pour les manuscrits disponibles en ligne.

-          il est prévu d’insérer en outre au début de chaque unité textuelle des identifiants uniques stabilisés en vue de l’association d’url pérennes à chaque paragraphe du corpus. Il sera donc possible à terme d’utiliser ces numéros pour citer la Glossa media de manière stable. L’identifiant est composé des initiales du corpus (ME = Glossa Media), du chiffre associé à chaque livre de la Bible (v. g. 73 = épître aux Hébreux, voir sigles des livres de la Bible), des numéros de chapitre et de verset bibliques et, le cas échéant d’un numéro de sentence : ME60.2.3S3

 

4.      Collation de nouveaux témoins et correction du texte de base : la transcription de Zw58 est ponctuellement complétée par des sondages partiels, en attendant des collations systématiques entreprises dans la perspective d’une édition critique. Nous nous sommes parfois permis de nous écarter du texte de base lorsque le sens, le latin, la source identifiée, l’accord de plusieurs autres témoins le demandent.

Principaux témoins cités :

 

Pour l’identification des sigles et des abréviations, se reporter à l’onglet INSTRUMENTA du site : Abreviationes in apparatu critico

 

 

* après l’appel de note signale une leçon différente du texte de base

* après un sigle de manuscrit indique une leçon de première main ;

² après un sigle de manuscrit indique une leçon corrigée dans le manuscrit.

·         Zw58 : Zwettl, Zisterzienserstift, Cod. 58, 200 f. 329x228/232mm  Zwettl s12 ¾ : cité d’après l’édition de Karlfried Froehlich 2022.

·         Cas235 : Monte Cassino, cod. 235 : prologue, collationes partielles signalées dans l’apparat

·         Fi1633 : idem

·         P2580 : idem

·         Tr2266

·         Hrv277

·         P2581 : idem

·         P12028 : idem

·         P14441 : idem

·         Tr2266 : idem

·         Ed1969 : In Rm. 13, 1-7 ed. Werner Affeldt, Die weltliche Gewalt in der Paulus-Exegese, Göttingen, 1969, p. 292-294 (ex P2580 P2581 P12028 P14441)

 

Pour 1Cor. j’ai intégré les collations des ms. Paris, Arsenal, 1116 (Ars1116) et Leipzig, lat. 427 (Leip417) d’après l’édition Landgraf : A. M. Landgraf, Commentarius Porretanus In Primam epistolam ad Corinthios, Città del Vaticano, 1945 (Studi e testi 117). A. Landgraf, Nene Funde zur Porretanerschule. Collectanea Franciscana. 6. Assisi (1936) 353-365.

Plusieurs de ces opérations sont en cours et demanderont un temps considérable. Nous remercions les lecteurs pour leur patience.

 

Les annotations marginales qui font partie de la spécificité codicologique de la Glossa media seront positionnées dans le texte en regard du lieu d’insertion demandé par l’indentification réelle des sources et le stemma de la tradition.

Seuls les lemmes attributifs ont vocation à figurer dans le texte. Les particularités d’exemplaire sont reportées en note. Le « Nota », « Intellege » et les autres manchettes sont reportées en apparat et signalés par un appele de note. La syntaxe de la note  indiquera entre parenthèses le ou les mots les plus proches sur de la ligne en regard de laquelle ils se trouvent (donc dans les marges intérieures les mots indiqués sont ceux de la fin de la ligne et dans les colonnes extérieures les mots du début de la ligne). Le numéro de la ligne relevé parfois par K . F. n’est pas signifiant pour le lecteur qui n’a pas accès au manuscrit. Nous ne sommes pas convaincu de leur intérêt général. Ces manchettes secondaires devront faire l'objet d'un choix et d'une analyse récapitulative dans les introductions.

Nous reportons en appartat les chiffres romains qui désignent le début des chapitres de la Bible. Pour être signifiants, ils devront être intégrés au tableau général des capitulations bibliques. [6]

[•V•]

[•C•]

[•X•]

[•II•]

[•III•]

[•IIII•]

En rouge grenat : expressions reprises du passage parallèle de la Glose ordinaire ; En gras dans les notes de sources les accords littéraux avec le texte édité.

Lemmes attributifs : Le point d’insertion des lemmes attributifs positionnés dans les marges des manuscrits varie parfois d’un manuscrit à l’autre. Seule l’identification précise des sources permet de les fixer. Dans l’attente de ce travail, nous avons déplacé certains les lemmes attributifs de l’édition diplomatique de Zw58 au début de la phrase ou du paragraphe concernés, et précisé en apparat le sigles des manuscrits où ce lemme figure. Il semble que les lemmes attributifs de Fi1633 soient plus précis que ceux de Zw58 : Dans le manuscrit de Florence, les lemmes sont en regard de la ligne où commence la citation, tandis que l’édition Froehlich donne parfois l’impression que les lemmes de Zw58 seraient positionnés en regard de la ligne qui termine la citation.  
D’un point de vue stratégique, il sera plus opportun d’identifier les sources de la Glossa media en parallèle avec celles de la Glossa magna à partir de la version d’Herbert de Bosham. Les signes diacritiques d’Herbert sont généralement d’une grande précision et permettent de surseoir aux approximations ‘à la bonne française’ du paratexte des manuscrits de Gilbert de la Porrée, même lorsqu’ils sont copiés en milieu germanique. L’utilité du paratexte de la Grande Glose s’avère d’autant plus grande que, lorsque la sentence à identifier est compilée à partir de plusieurs oeuvres (par exemple dans la Glossa media « Augustinus, Hieronymus, Ambrosius » à la suite l’un de l’autre), Pierre Lombard indique précisément où commence et se termine la citation de chacun des trois auteurs. On observe ainsi que la source des sentences médiévales est plus souvent à chercher dans les traités augustiniens que dans la prédication d’Augustin qui relaie pourtant maintes fois sous forme de propositions concises, proches du genre des sentences médiévales, la substance de ses propres écrits doctrinaux. Les glossateurs médiévaux ne semblent pas avoir exploité prioritairement cette partie du corpus augustinien (les sermons). L’expérience montrera si cette impression est exacte.        

 

=> vers l’édition

 



[1] Pour la datation et la question de l’origine graphique du manuscrit, voir Charlotte Ziegler, Zisterzienserstift Zwettl. Katalog der Handschriften des Mittelalters, Teil I: Codex 1-100, Wien-München: Verlag Anton Schroll, 1992, p. XVI, XX-XXII, 114-115 (Scriptorium ordinis Cisterciensium) et la synthèse de K. Froehlich, infra laud., p. vi.

[3] Le critère de la qualité esthétique et de l’ornementation comme élément de repérage de la qualité philologique des commentaires exégétiques anciens est très discutable. Les analyses de l’histoire de l’art rassurent mais elles ne sont qu’indicatives et trop souvent simplificatrices. Il semble que le manuscrit de St-Martial de Limoges (P576) soit et plus ancien et de meilleure qualité philologique que les « beaux » manuscrits cisterciens. Le copiste de Zwettl fait de lourds contresens et de nombreuses inversions de mots contredites par au moins trois parmi les plus anciens manuscrits consultés. Le cas de Rm. 3 :20 (GGP60.3.20-4) est particulièrement flagrant puisque le copiste arrive à faire dire au texte biblique le contraire de ce qu’il dit en accumulant 4 fautes en 3 lignes contredites par trois manuscrits contemporains ou plus anciens. Cependant, il est prématuré de conclure. Les points d’insertion des lemmes attributifs de Zwettl sont en revanche plus précis que ceux d’autres manuscrits comme Cas235. Souvent  placés en regard du début réel des citations, ils constituent pour l’éditeur une indication très utile.

[4] Cf. Pascale Bourgain et Françoise Vieillard, Conseils pour l'édition des textes médiévaux, 3 vol., Ecole nationale des chartes, Paris, 2002.

[5] Sur la question, voir Martin Morard, BIBLIAE CAPITULA. Incipits et numérotations des chapitres dans les bibles latines du Moyen Âge tardif in : Sacra Pagina, IRHT-CNRS, 2024. (Permalink : https://gloss-e.irht.cnrs.fr/php/instrumenta.php?id=184)

[6] Martin Morard, BIBLIAE CAPITULA. Incipits et numérotations des chapitres dans les bibles latines du Moyen Âge tardif in : Sacra Pagina, IRHT-CNRS, 2024. (Permalink : https://gloss-e.irht.cnrs.fr/php/instrumenta.php?id=184)


Comment citer cette page ?
Martin Morard, L'édition électronique native de la Glossa media de Gilbert de Poitiers sur le corpus paulinien in : Sacra Pagina, IRHT-CNRS, 2024. Consultation du 27/07/2024. (Permalink : https://gloss-e.irht.cnrs.fr/php/page.php?id=147)