Catalogue des manuscrits de la Glossa media de Gilbert de la Porrée sur les épîtres pauliniennes

page créée le 7.9.2024, mise à jour le 19.9.2024 (version 3)


Comment citer cette publication

Laura Albiero – Angela Cipriani – Martin Morard,

Les manuscrits de la Glossa media de Gilbert de la Porrée sur les épîtres pauliniennes. Notices codicologiques, éd. et trad. M. Morard, in: Sacra-Pagina, CNRS-IRHT, 2024.


 A PARAÎTRE

 


Figura 1: Vendôme, BM, ms. 23, f. 160

 SOMMAIRE

 Avant propos de l’éditeur

Légendes

" [Am84] Amiens, Bibliothèque municipale, 84

$ [An68] Angers, Bibliothèque municipale, 68 (60)

$ [An300] Angers, Bibliothèque municipale, 300 (291)

$ [Ar970] Arras, Bibliothèque municipale, 970 (633)

$ [As317] Assisi, Biblioteca Comunale, ms. 317

" [$] [Bor62] Bordeaux, Bibliothèque municipale, 62

" [Boul24] Boulogne-sur-Mer, Bibliothèque municipale, 24

" [Bg78] Brugge, Stadtbibliothek, 78

$ [Bx131] Bruxelles, KBR, 531-39 (131)

[Os85] Burgo (El) de Osma, Archivo Catedralicio, 85

& [Bs12] Busto Arsizio, Biblioteca Capitolare, M. I. 12

$ [Cb308] Cambrai, Bibliothèque municipale, 308

$ [Cb460] Cambrai, Bibliothèque municipale, 460 (431)

$ [Cam 78] Cambridge, Pembre College, 78

$ [CSJ70] Cambridge, St. John’s College, C 20

$ [Cam Kk.I.21 68] Cambridge, University Library, Kk.I.21

" [Hrv277] Cambridge (MA), Harvard University, Houghton Library, MS Typ 277

$ [Do460] Douai, Bibliothèque Marceline Desbordes-Valmore, 460

& [Esc &.I.9] El Escorial, Real Biblioteca, &.I.9

$ [Fi122] Firenze, Biblioteca Medicea Laurenziana, Plut. 12.2 dext.

$ [Fi1633] Firenze, Biblioteca Medicea Laurenziana, Plut. 16.33

& [Her] Hereford, Cathedral Library, O.ii.4

& [Li485] Linz, Oberösterreichische Landesbibliothek, 485

$ [Lis178] Lisboa, Biblioteca Nacional de Portugal, Alcob. 178

$ [BL11853] London, British Library, Add. MS 11853

$ [R2F1] London, British Library, Royal MS 2.F.I

$ [R8C5] London, British Library, Royal MS 8.C.V

& [Vam9037] London, Victoria and Albert Museum, PDP 9037 D

" [Md491] Madrid, Biblioteca Nacional, 491

" [Md546] Madrid, Biblioteca Nacional, 546

" [Mainz151] Mainz, Wissenschaftliche Stadtbibliothek Mainz, Hs I 387

$ [Cas235] Montecassino, Archivio dell’Abbazia, 235

$ [Clm6216] München, Bayerische Staatsbibliothek, Clm 6216

$ [Clm18206] München, Bayerische Staatsbibliothek, Clm 18206

" [Nh152] New Haven, Beinecke Library, Marston MS 152

" [Or86] Orléans, Bibliothèque municipale, CGM 86 (83)

$ [OxA3] Oxford, Bodleian Library, Lat. Misc. A 3, f. 26

$ [Ox21] Oxford, Bodleian Library, Lat. Theol. C. 21

$ [Ox985] Oxford, Bodleian Library, Laud. Lat. 45

$ [OxU62] Oxford, Bodleian Library, University College 62

$ [OxMa118] Oxford, Magdalen College, 118

$ [Ars61] Paris, Bibliothèque de l’Arsenal, 61

$ [Mz258] Paris, Bibliothèque Mazarine, 258

$ [P311] Paris, Bibliothèque nationale de France, Latin 311

 $ [P656] Paris, Bibliothèque nationale de France, Latin 656

$ [P2580] Paris, Bibliothèque nationale de France, Latin 2580

$ [P2581] Paris, Bibliothèque nationale de France, Latin 2581

[P3812] Paris, BnF, lat. 3812

$ [P12028] Paris, Bibliothèque nationale de France, Latin 12028

$ [P12029] Paris, Bibliothèque nationale de France, Latin 12029

$ [P14441] Paris, Bibliothèque nationale de France, Latin 14441

" [Per169] Périgueux, Archives Départementales de la Dordogne, 169

$ [Pi125] Pisa, Biblioteca Cateriniana, 125

& [Pr237] Praha, Archiv Pražského Hradu, Knihovna Metropolitní Kapituly, A CXXXIV 2

" [Pr524] Praha, Národní Knihovna, III.F.21 (524)

$ [Re137] Reims, Bibliothèque municipale, 137 (B 105)

$ [Re138] Reims, Bibliothèque municipale, 138 (B 95)

$ [Ro1088] Roma, Biblioteca Casanatense, 1088

$ [R149] Rouen, Médiathèque Villon, A. 197 (CGM 149)

$ [So79] Soissons, Bibliothèque municipale, 79

$ [So80] Soissons, Bibliothèque municipale, 80

$ [Tb52] Tarbes, BM, 52

" [Tr626] Troyes, Bibliothèque municipale, 626

" [Tr2266] Troyes, Bibliothèque municipale, 2266

$ [Val89] Valenciennes, Bibliothèque municipale, 89

$ [SP61] Città del Vaticano, Biblioteca Apostolica Vaticana, Arch. S. Petr. B 61

$ [Reg242] Città del Vaticano, Biblioteca Apostolica Vaticana, Reg. Lat. 242

" [Ve23] Vendôme, Bibliothèque municipale, 23

" [Wi1562] Wien, Österreichische Nationalbibliothek, 1562

& [Wi4869] Wien, Österreichische Nationalbibliothek, 4869

& [Wo49] Worcester, Cathedral Library, F 49

["] & [Zw58] Zwettl, Stiftsbibliothek, 58

Manuscrit d’identification douteuse

Localisations inconnues

 *****

Boulougne-sur-Mer, BM, ms. 24 : Glossa media in Paul. (Eph.)        (France : 12e 3/4)

Avant propos de l’éditeur

Les notices de ce catalogues ont été préparées par Laura Albiero et Angela Cipriani, qui ont bien voulu répondre à mon invitation de les publier en format électronique dynamique sur le site Sacra Pagina,

-          en appui de l’édition électronique en cours,

-          comme pièce justificative des données recueillies dans GLOSSEM sur ces mêmes manuscrits.

-          comme exercice de mise à l’épreuve de notre essai de codicologie des bibles latines glosée[1].

Les éditions numériques publiées dans Sacra Pagina sont adossées à un répertoire sommaire de leurs manuscrits: GLOSSEM. GLOSSEM est d’abord l’index analytique d’une bibliothèque virtuelle qui donnerait accès par des liens 1°  à la première page de tous les manuscrits des livres bibliques associés à des commentaires et aux témoins manuscrits de ces commentaires ; 2° aux notices codicologiques des manuscrits recensées (dans GLOSSEM : liens et/ou note associés à la cote des manuscrits)

Les éditions numériques publiées dans Sacra Pagina sont adossées à un répertoire sommaire de leurs manuscrits: GLOSSEM. GLOSSEM est d’abord l’index analytique d’une bibliothèque virtuelle qui donnerait accès par des liens 1°  à la première page de tous les manuscrits des livres bibliques associés à des commentaires et aux témoins manuscrits de ces commentaires ; 2° aux notices codicologiques des manuscrits recensées (dans GLOSSEM : liens et/ou note associés à la cote des manuscrits)

GLOSSEM est aussi une source de données destinées à l’analyse quantitative et comparative des bibles avec commentaire et des commentaires associés à la Bible glosée. Pour ce faire, la base sélectionne, d’abord de manière compilatoire, puis critique, à partir de l’examen visuel et des catalogues, les données concernant la provenance, l’origine, le rapport entre Bible et commentaire révélé par les mises en page[2]. Par l’étude des mises en texte, révélées par les mises en page, l’instrument voudrait contribuer à une meilleure compréhension des modalités de la réception « en ses traditions » du référentiel biblique par les sociétés occidentales médiévales et modernes[3].

Sacra Pagina propose déjà quelques listes récapitulatives des traditions manuscrites et imprimées des oeuvres éditées sur le site, ou de certaines de leurs pièces annexes.

-          Catena aurea de Thomas d’Aquin 

-          Summa super Psalterium de Philippe le Chancellier[4] ,

-          Postilles sur les Psaumes de Hugues de Saint-Cher

-          le symbole Quicumque glosé (en cours)

-          le commentaire des prologues bibliques de Guillaume le Breton

-          le Psaume 150 (avec Pierre-Maurice Bogaert et Chiara Ruzzier)

-          les épitomes des règles de Tyconius

-          le 'Tractatus duodecim lapidum' (Apc. 21, 19-21), pierre de touche

-          la Concordances des évangiles de Nicolas de Lyre

 

Les notices codicologiques des manuscrits de la Media Glossatura sur le corpus paulinien viennent s’y ajouter désormais. Leur particularité est de réunir pour la première fois des informations précieuses, souvent inédites et difficiles à obtenir, et qui exigent compétences et précisions techniques. Rédigées avec méthode, en application de critères scientifiques, elles apportent des précisions de première main sur la structure des manuscrits, la composition des cahiers, la mise en page, de très nombreux relevés de réglures, l’identification des paratextes majeurs (prologues, sommaires et divisions) avec références normalisées aux répertoires pertinents.

Roma non fu fatta in un giorno. Ce travail appelle encore des compléments et des précisions. Il y manque encore quelques notices ; certains manuscrits n’ont pu être décrits qu’à partir de données de seconde main. L’intérêt des notices réalisées « exemplaire en mains » incite à appliquer la même grille d’analyse à tous les témoins. Certains catalogues ont échappé à l’attention. La bibliographie des manuscrits, si nécessaire à l’étude des textes et de leurs véhicules codicologiques, reste à établir.

C’est le souci commun de l’analyse de la mise en page qui est à l’origine de la publication de ce petit catalogue. La description de la mise en page est trop souvent le point faible du catalogage, formulées en des termes abscons, incompréhensibles par les non-spécialistes et inadéquates aux questions des spécialistes, eux-même responsables parfois responsables – par leur silence ou leurs exigences trop techniques -  du désarois des catalogueurs et de l’insuffisance des catalogues qui en résulte. La distinction entre l’essentiel et le détail suppose connue la problématique qui anime la dynamique de l’histoire d’un texte.

La distinction entre mise en texte et mise en page, mise à la mode dans les années 80 du siècle dernier par les historiens du livre, n’a pas été assimilée par les catalogueurs. Incomprise, elle conduit à réduire la codicologie à la matérialité du livre, décrite par le menu mais décorellée du texte, réduit au « contenu », comme si le texte était au livre ce que la soupe est à la soupière. La copie des textes commentés oblige à plus de nuances. La Cigogne invitée chez le Renard n'en mangera que de meilleur appétit.

Les notices  encore perfectibles de ce petit catalogue voudraient raconter une histoire en croisant le double parcours des données de la mise en page avec celles de la mise en texte pour aider à remonter de la matière à l’idée, de l’empreinte de cire à la matrice du sceau, pour reconstituer quelque chose de ce que les lecteurs des 12e et 13e siècle attendaient de la Bible et de ses commentaires, quelque chose aussi de ce que signifiait pour eux « lire » la Bible.

Les descriptions d’Angela Cipriani et de Laura Albiero posent des questions et appelle des compléments[5].

Concernant la mise en page, on trouvera certains éléments complémentaires, nécessaires à l’histoire du commentaire et à la compréhension de sa mise en texte, dans le champ « mise en page de GLOSSEM, en particulier:

-       la description des capitulations bibliques (divisions en chapitres, langtonnienne ou non, de première ou de seconde main?) aiderait à dater et classer les témoins[6].

-       les lemmes attributifs [MM1] (dans le commentaire ou en marge), éléments structurants et fondamentaux de l’exégèse doxologique,

-       la signalétique marginale, caractéristique de la mise en page de la Media Glossatura: Nota, Intellige, etc.

-       la présence et de la fréquence de manchettes de type scolaire ou scolastique [materia, intentio, etc.], le signalement d’éventuelles scholies, sont susceptibles d’éclairer l’usage de la Glossa media ;

Ces données seront complétées au fil de l’avancement de l’édition, en particulier de la collation des manuscrits qui plus propice à leur relevé qu’un parcours formel et visuel des manuscrits. Si l’édition ne peut se contenter d’un recensement sommaire des témoins, le catalogage des manuscrits d’une oeuvre a besoin, lui aussi, de l’édition du texte, tant la collation des textes conduit à préciser et corriger jusqu’à la description de leur support codicologique.

Pour que ce travail puisse être cité et mis au service de la recherche, il fallait qu’il soit publié. Au vu de l’obsolescence rapide des relevés de données matérielles, toujours améliorables et jamais exhaustifs, le format numérique s’imposait. Il faut un certain courage et beaucoup d’abnégation pour laisser ainsi filer en avant un travail longtemps ciselé dont on sait qu’il peut encore être affiné. Nous remercions les auteures d’avoir répondu favorablement à notre invitation à le publier sous cette forme. Nous espérons que d’autres suivront leur exemple pour que Gloss-e devienne un instrument collectif utile à tous par la collaboration du plus grand nombre.

 

Avec l’accord des auteurs, pour des raisons de cohérence éditoriale, nous sommes intervenus sur les points suivants:

1.      Les interventions de l’éditeur sont signalées entre [crochets carrés].

2.      Les notices, rédigées en italien, ont été traduites en français (à l’exception de la description du décors, trop personnelle pour être traduite sans réinterprétation).

3.      La terminologie française de la description des mise en pages a été alignée sur celle de GLOSSEM[7]. La terminologie italienne a été conservée entre parenthèses.

4.      Pour les provenances et la datation – localisation, on se reportera aux données de GLOSSEM, parfois plus détaillées ou argumentées.

5.      Les crédits photographiques relèvent des choix et de la décision de l’éditeur[MM2] , sauf cas particuliers indiqués.

6.      La distinction entre mise en page et mise en texte, ainsi que la mise en évidence des éléments graphiques qui s’y rapportent sont fondamentales pour comprendre les rapports de l’Ecriture et de son exégèse dans les manuscrits bibliques avec commentaires. C’est le texte et sa destination qui déterminent le choix de la mise en texte que la mise en page réalise concrètement. On gagne toujours à lire les notices à lire les notices dans cet ordre. Les apparats et données techniques sont moins rébarbatifs, sans être moins précis, quand on organise leur présentation comme les éléments d’une histoire qui devrait se lire presqu’aussi aisément qu’un roman. Pour faciliter cette reconstitution, les éléments des notices et leur ordre de succession ont été légèrement restructurés et introduits par des rubriques. Par exemple, la mise en évidence graphique du « lemme biblique commenté » ne relève pas du « décors », mais de la « mise en texte » ; le lemme commenté doit être distingué  des « citations bibliques ». Une fois indiqué les dates de lieu et de temps du volume, ses dimensions et sa composition matérielles (collation des cahiers), c’est l’identification des textes (« contenu »), puis leur organisation et agencement (« mise en texte ») qui définissent la « mise en page » (organisation de l’espace d’écriture). Une même mise en page peut encadrer aussi bien la mise en texte d’une glose « puzzle » (jamais appliquée à la Glossa media, et pour cause !) que celle d’une glose en trois colonnes synoptiques.

7.      Nous distinguons trois instances du matériau biblique qui appellent chacune un signalement catalographique propre :  

a.      Le Texte ou contenu intégral du livre biblique associé au commentaire par une mise en page synoptique. Le Texte est continu ou discontinu ; s’il est continu on précisera s’il est synoptique par rapport au commentaire ou s’il est ajouté en tête ou fin de volume. S’il est discontinu, on précisera s’il est divisé en versets (Psaumes), en péricopes, en chapitres ou en parties de livres avec commentaire sous-jacent.

b.      Le lemme commenté = mots du Texte qui font l’objet du commentaire principal .

c.       Les citations bibliques extraites d’autres parties de la Bible que le livre qui fait l’objet du commentaire.

d.      la présence et la nature des capitulations doit également être signalée systématiquement.

Martin Morard (8.9.2024)

 

catalogue : voir pdf joint (en préparation)

 

 



[1] Martin Morard, Mises en page et codicologie des bibles latines glosées in : Sacra Pagina, IRHT-CNRS, 2024. (Permalink : https://gloss-e.irht.cnrs.fr/php/instrumenta.php?id=202)

[2] Je renvoie ici aux différents chapitres associés à la page d’accueil de la base: Martin Morard, GLOSSEM. - Répertoire des manuscrits de la Bible latine glosée in: Sacra Pagina, IRHT-CNRS, 2024.

[3] Par mise en texte, nous entendons les principes qui guident la disposition et les relations des différents niveaux de textes entrant dans la composition de la page écrite et l’organisation de l’unité codicologique. La mise en page est la mise en application de ces dispositions dans l’exemplaire concret. La connaissance de la mise en texte est révélée par l’étude de la mise en page, mais tous les éléments de la mise en page ne sont pas également utiles à l’étude de la mise en texte. Ils peuvent même être en contradiction: par exemple, une disposition synoptique en deux colonnes exécutées sur une page réglée pour accueillir une glose en 3 colonnes. Dans ce cas, l’examen visuel du manuscrit est seul révélateur de la mise en texte. Le schéma de réglure ne suffit pas non plus à distinguer, à lui seul, une mise en page puzzle de type parisien d’une mise en page en trois colonnes qui repose sur un même schéma de réglure similaire,  etc. Il ne s’agit donc pas d’opposer deux codicologies, mais d’articuler deux regards dans une seule et même démarche historique.

[4] Les manuscrits de la Summa, bien que publiée dans la collection Sacra Pagina, ne sont pas recensés dans GLOSSEM puisque l’oeuvre n’a pas été diffusée en association directe avec le texte intégral des Psaumes.

[5] Pour le vocabulaire codicologique propre aux livres glosés, voir ici note 7.

[6] Dans le cas des manuscrits avec Texte biblique intégral et commentaire synoptiques (a testo affiancato), les numéros des chapitres bibliques, ajoutés dans les marges externes, en regard du commentaire, ne concernent pas celui-ci mais le Texte biblique de la colonne intérieure. Il n’y a donc lieu de les signaler dans l’apparat du Texte biblique et par rapport à celui-ci, et non dans l’apparat critique du commentaire et part rapport aux mots du commentaire qu’ils côtoient.

[7] Voir à ce propos Martin Morard, Mises en page et codicologie des bibles latines glosées in: Sacra Pagina, IRHT-CNRS, 2024, en particuliers: lemmes, typologies des mises en page


 [MM1]le terme « rubriche » de la version italienne désignet-il toutes les inscriptions en lettre de couleur rouge ou les lemmes attributifs marginaux et / ou  les lemmes attributifs intégrés dans le commentaire ?

 [MM2]bien sûr si vous voulez y contribuer en me fournissant des images de manuscrits libres de droits on indiquera le copyright  (c) et ce sera un plus.


Comment citer cette page ?
Martin Morard, Catalogue des manuscrits de la Glossa media de Gilbert de la Porrée sur les épîtres pauliniennes in : Sacra Pagina, IRHT-CNRS, 2024. Consultation du 24/10/2024. (Permalink : https://gloss-e.irht.cnrs.fr/php/page.php?id=222)